Il semble que les récentes cyber-attaques qui ont touché la Corée du Sud et les Etats-Unis émanaient du Royaume-Uni, et non de Chine ou de Corée du Nord comme cela avait été fortement suspecté.

Le serveur central était outre-manche. Celui-là même qui aurait servi pour les très récentes attaques informatiques qu’ont subi la Corée du Sud et les Etats-Unis. En tout cas, c’est ce que rapporte un centre de sécurité vietnamien, dépendant de l’université de Hanoi.

C’est donc une surprise, qui mérite encore validation, puisqu’aucune réaction anglo-saxonne n’a été enregistrée. Il n’empêche qu’après ces attaques, la Corée du Sud avait tout de suite accusé son voisin du Nord, alors que de nombreux spécialistes avaient quant à eux les yeux rivés sur la Chine, oserait-on dire « coutumière » de ce genre de pratiques… ?
La grande menace du XXIème siècle

Rappelons également que fin juin, le gouvernement anglais avait annoncé embaucher des anciens pirates informatiques pour assurer sa défense. « Tout comme au XIXème siècle nous avons eu à sécuriser la mer pour la défense de notre pays et sa prospérité, qu’au XXème siècle, ce fut les cieux qu’il fallut rendre plus sûrs, au XXIe siècle, nous prenons place désormais dans le cyberespace », assurait alors Gordon Brown, Premier ministre anglais.

Par Emilien Ercolani
(Source : linformaticien.com)